Les PEREGRINATIONS de boueb :
Après avoir cogné les trottoirs en crachant le feu, écumé les bistrots en jouant du rock et refait le monde sur les bancs de l’université de sociologie – il fait depuis 1996 majoritairement l’acteur, avec entre autres «L’âge de la Tortue» - bien qu’étant principalement musicien, notamment pour la compagnie de danse «Ladaïnha», ou «Vent d’étoiles» en rue – et le plus souvent engagé en tant que danseur, comme chez «Tango Sumo».
" JE suis UN GRAND MOYEN, alors il faut que ca serve !"
Il a poussé à Rennes à «L’élaboratoire», une friche artistique qu’il jardine avec d’autres mauvaises graines. De créations collectives en montages de projets culturels, de festivités en interventions impromptues, il signe son premier solo A court de miracle avec l’aide de la «C.I.A.» en 2002 ; le second, Jean Paul Pétale voit le jour en 2005. Un troisième, Bordel de Bouèb (2009), reflète une envie de triptyque de trio autour d'une grève du crime.
Entre 2007 et 2009, il prend un temps entre parenthèse pour se former auprès de la FAIAR (Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue, Marseille), cursus pendant lequel il approfondit et élargit encore son champ de compétence, et affine sa parole artistique.
A son image, long et fin, «Les Grands Moyens» s’emploient à être modestes et géniaux. Le projet prend de l'ampleur. Bouèb réalise sa Grève du Crime (2012) avec l'aide de six comédiens. Directeur artistique de cette farce itinérante, il orchestre le travail d'écriture et de mise en scène.
Entre 2007 et 2009, il prend un temps entre parenthèse pour se former auprès de la FAIAR (Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue, Marseille), cursus pendant lequel il approfondit et élargit encore son champ de compétence, et affine sa parole artistique.
A son image, long et fin, «Les Grands Moyens» s’emploient à être modestes et géniaux. Le projet prend de l'ampleur. Bouèb réalise sa Grève du Crime (2012) avec l'aide de six comédiens. Directeur artistique de cette farce itinérante, il orchestre le travail d'écriture et de mise en scène.
_Il provoque par des actes et prête à rire avec ses mots. Il est «persécussioniste». Le rythme le met en mouvement, et celui-ci crée du son. Le geste livre ses émotions profondes. Il voulait faire la révolution, il est parti faire un petit tour.
|
"j'ai un cote clown, un cote punk et un cote intello"
|
«Changer le monde ?
Non mais vous rigolez !
Moi, je lève le poing,
mais je garde l’autre pour demain.»
Non mais vous rigolez !
Moi, je lève le poing,
mais je garde l’autre pour demain.»